Le Figaro revisited
Original
Car aussi surprenant que cela puisse paraître, la justice, qui peut placer des caméras et des micros partout, n'avait aucun droit d'accès aux ordinateurs, sanctuarisés par un vide juridique. Certes, elle pouvait exiger des informations auprès des fournisseurs d'accès à Internet. Mais le résultat était parfois aléatoire. Surtout, elle ne pouvait pas capter les conversations des trafiquants qui communiquent désormais via leur ordinateur grâce au protocole du logiciel Skype, entièrement crypté.
(Source)
Variation Première
Car aussi surprenant que cela puisse paraître, la justice, qui peut placer des caméras et des micros partout, n'avait aucun droit d'accès aux dessous de couette, sanctuarisées par un vide juridique. Certes, elle pouvait exiger des informations auprès des voisins. Mais le résultat était parfois aléatoire. Surtout, elle ne pouvait pas capter les conversations qui se chuchotaient à voix basse sous les draps.
Variation Seconde
Car aussi surprenant que cela puisse paraître, la justice, qui peut placer des caméras et des micros partout, n'avait aucun droit d'accès aux cerveaux, sanctuarisés par un vide juridique. Certes, elle pouvait exiger des informations auprès de leurs propriétaires. Mais le résultat était parfois aléatoire. Surtout, elle ne pouvait pas capter les conversations intérieures des individus entièrement silencieuses.